« Il est plus facile de fermer une entreprise que de la rouvrir » c’est la leçon des deux mois de confinement vus par Françoise Meudec, agent Peugeot dans la région de Brest.
Elle a du fermer son garage mais rester disponible pour prêter ou réparer les voitures des soignants au cas où. Le déconfinement restera pour elle une épreuve : « beaucoup de larmes » pour décrypter la paperasse envoyée par l’Etat pour fixer les règles de fonctionnement de son entreprise accueillant du public, des vendeurs et des mécaniciens. 1 mètre de distance pour les clients, 2 mètres pour les personnels en vertu de l’accord de branche ! Et des règles dignes d’un bloc opératoire en atelier.
Malgré l’épreuve car pour Françoise la crise du Covid-19 fut aussi une épreuve personnelle, la chef d’entreprise exprime sa reconnaissance à Peugeot, à la profession, à ses quatre salariés et, surprise…à l’Etat qui a mis en place le chômage partiel et des mesures d’accompagnement.